POPOL WU'UJ

Issu de la tradition orale, le Popol Wu’uj est le livre sacré de la mythologie maya. C’est en hommage à ce récit allégorique retraçant l’origine du monde, que nous avons baptisé cette infusion. Dans ce mélange, le fruit caramélisé du chicozapote (un arbre très résistant du golfe du Mexique) côtoie le cacao, la coco et la feuille de bibacier : des ingrédients consommés localement pour leurs propriétés antioxydantes, purifiantes et brûle-graisse. Une boisson parfumée et gourmande qui, en plus de détoxifier, contribue à réguler la tension.

Notes : fruitées et cacaotées, donc forcément gourmandes.

Les ingrédients :
Feuille de bibacier (30 %), cosse de cacao (30 %), noix de coco (20 %), fruit de chicozapote (20 %).

Culture artisanale du Guatemala exclusivement — 100 % naturel - Aucun arôme ni sucre ajouté - SANS THEINE.

Utilisation : le matin comme le soir, sans modération.

Préparation : 2 belles cuillères à soupe pour 1 litre d'eau pure ou filtrée, portée à 90 °. Infusion longue de 9 à 12 '. Mettre dans un thermos et emporter avec soi pour en boire tout au long de la journée.

Les explications de Jorge :

« À la dégustation, Popol Wu'uj est certainement la recette la plus gourmande que j'ai conçue pour le moment pour TEA TRIBES (mais j'espère bien en concevoir encore d'autres ; j'ai 2 ou 3 idées en tête). Au nez, la noix de coco et le cacao sont presque trop présents, envoûtants. Au goût, la liqueur est finalement très équilibrée entre ses différents composants, délicieuse, seule ou pour accompagner une pâtisserie.

Le chicozapote est une star locale, et comme toutes les stars il a plusieurs noms et surnoms, selon les régions : chicosapote, sapodilla, manilkara zapota, nispero, ... Je l'appelle Zapote, car c'est directement dérivé du nom en Nahuatl " tzapotl ". C'est un arbre de grande qualité que l'on trouve de nos jours dans différentes contrées à travers le monde, mais il est bien de chez nous ! A contrario, nous avons importé son cousin le bibacier, de telle sorte que les Mayas d'aujourd'hui prennent le plus souvent les fruits de l'un et les feuilles de l'autre, ce que j'ai fait moi aussi.

J'ai mêlé ces quatre composants avec une visée de détoxification de l'organisme et une action antioxydante. Je tiens ici à préciser que les Mayas d'hier n'avaient pas de connaissance de ce qu'un antioxydant veut dire, contrairement à ceux d'aujourd'hui. Ils avaient en revanche déjà l'absolue conviction de la nécessité de purifier son corps de ses toxines, à intervalles réguliers.  »